L’apo?tre Paul e?crivait : « Vous devez,
au milieu des gens malhonne?tes
et mauvais de ce monde,
briller comme les e?toiles du ciel. »
Un ciel sans e?toiles nous parai?t triste et sombre.
Mort…
Pour les astronomes, c’est catastrophique,
leurs te?lescopes demeurant aveugles et muets…
Sans e?toiles, homme et instruments s’arre?tent.
Bien su?r, le savant peut poursuivre ses calculs ;
mais sa joie ne sera parfaite que lorsque les astres,
re?apparus,
confirmeront ses recherches.
Comment le monde croira-t-il et de?couvrira-t-il
les merveilles du monde ce?leste
et ce qu’est l’amour de Dieu,
ce qu’il a fait sur la terre en y envoyant son Fils,
si des « e?toiles »,
brillantes ou clignotantes,
isole?es ou en constellations,
n’e?clairent pas la nuit,
prouvant qu’il y A un Ciel…
et non le grand vide obscur ?