Dans l’estomac obscur et sombre de la baleine,
Jonas, submerge? sans doute par les algues
et les centaines de petits poissons
engloutis par l’e?norme ce?tace?,
Jonas prie ; et sa prie?re est e?tonnante,
car elle rappelle a? Dieu ses interventions fide?les,
et elle se termine par ces mots :
« Oui c’est toi, Seigneur, qui me SAUVE ! »
Ce n’est pas une supplique ; c’est une affirmation.
Et le texte poursuit par ces mots :
« Sur un ordre du Seigneur,
le poisson rejeta Jonas sur la terre ferme ! »
Si l’apo?tre Paul pouvait e?crire :
« Rendez gra?ce en toutes circonstances » ,
c’est qu’il connaissait la promesse de l’Eternel :
« Avant me?me qu’ils ne crient a? moi, je re?pondrai ! »
Et il savait e?galement qu’aux since?res supplications,
Dieu, toujours, re?pond.
D’une manie?re
ou d’une autre.
Et qu’ainsi, avant me?me d’e?tre de?livre?,
son enfant peut le louer et le remercier, car
DIEU SAUVE !
C’est me?me le nom de son Fils
descendu rejoindre une humanite? de?boussole?e !…