Dans des temps de te?ne?bres particulie?rement noires,
d’e?preuves a? la limite du supportable,
souvenons-nous du myste?re, du secret cache? par le Dieu d’Israe?l
jusqu’au jour de sa re?ve?lation.
Et encore… il en e?tait de la re?ve?lation comme du myste?re…
« Que ceux qui ont des yeux pour voir, voient… »
La naissance miraculeuse de l’enfant de Bethle?hem,
accomplissement extra-ordinaire mais myste?rieux
de la promesse d’un Libe?rateur, d’un Sauveur
n’a e?te? re?ve?le?e, et de nuit, qu’a? de tre?s anonymes bergers
qui allaient en discuter dans les champs,
avec leurs seuls moutons comme auditeurs !
Et ces savants astronomes venus d’Orient,
rentre?s chez eux, en Perse probablement,
n’en parleraient peut-e?tre qu’a? quelques autre savants
scrutant les e?toiles…
Et pourtant, le message allait traverser plus de deux mille?naires.
Dans la nuit terrifiante de tes e?preuves,
reviens, reviens aux promesses de l’Eternel.
Qui ont e?te? e?crites, consigne?es, dans le respect et l’obe?issance
par d’anonymes mais fervents Juifs pieux,
au risque de leur vie, la plupart du temps.
Et qui, plus de deux mille ans plus tard,
dans la civilisation, le modernisme de notre e?re,
te sont donne?es, redonne?es, redonne?es encore,
comme a? coup de tours de manivelle,
on mettait en marche le moteur des vieilles automobiles d’autrefois,
qui n’e?taient pas des bolides,
mais roulaient,
pre?mices des Ferrari d’aujourd’hui !
