Aux Ephe?siens,
l’apo?tre Paul e?crivait :
« Que le Dieu
de notre Seigneur Je?sus-Christ
illumine les yeux de votre cœur,
pour que vous sachiez
quelle est l’espe?rance
qui s’attache a? son appel. »
Pour percevoir, comprendre l’appel de Dieu,
il faut que les « oreilles du cœur » soient ouvertes…
Pour y obe?ir, il faut la soumission et la volonte? qu’a eues le Fils de Dieu,
et qu’il veut nous donner.
Mais, en plus de cela,
il offre de nous donner le REGARD, son regard, les « yeux du cœur »,
qui nous donneront le courage ne?cessaire
pour entrer par la « porte e?troite », et suivre le « chemin e?troit »
(caillouteux, raide bien souvent),
les yeux qui verront l’ESPERANCE qui est attache?e a? l’appel.
Paul disait aussi :
« C’est en espe?rance que vous e?tes sauve?s… »
Le « cadeau » de l’appel est un cadeau double :
y est attache?e, « colle?e », l’ESPERANCE.
Non un vague espoir, mais une CERTITUDE-ESPERANCE
de ce qu’il y aura au bout du chemin difficile,
au sommet de la rude grimpe?e :
les bras grands ouverts de notre Roi qui, comme pour l’enfant prodigue,
est pre?t a? courir a? notre rencontre,
si les derniers me?tres sont devenus impossibles a? parcourir sans son aide,
tellement nous sommes devenus de?pendants,
et « petits » !