La Chance, le gros lot de ta vie
Le roi poe?te, David, a e?crit dans un psaume :
« Seigneur, toi qui es la chance de ma vie,
la part qui me revient,
tu tiens mon destin dans tes mains !
C’est un sort qui m’enchante, un privile?ge qui me ravit.
Je ne perds pas de vue mon Seigneur
et ne risque pas de la?cher pied,
puisqu’il est a? mes co?te?s !
C’est pourquoi j’ai le coeur plein de joie,
j’ai l’a?me en fe?te :
je suis en parfaite se?curite? ! »
Sais-tu, toi qui te de?soles de ton sort,
toi qui, parfois, souhaiterais mourir,
que connai?tre Dieu de pre?s,
se laisser aimer et l’aimer,
peut e?tre la chance de ta vie ?
Non pas la chance aveugle d’une loterie, non :
la part qui te revient !
le « lot » que tu as gagne?,
sans me?me que tu aies besoin d’acheter un billet ;
tu l’as gagne?, et il attend que tu viennes le chercher !
Si tu apprenais que ton billet gagne le gros lot,
tu te ruerais, n’est-ce pas, pour le toucher !
De?couvrir Dieu en son Fils, envoye? humain et visible, Je?sus-Christ,
de?couvrir qu’il te connai?t, toi, personnellement,
mieux que quiconque sur la terre,
qu’il t’aime et posse?de tout ce dont tu as besoin
et le tient a? ta disposition,
voila? ton « lot », si tu le veux ;
si tu acceptes d’e?tre plus que son ami :
son enfant, fils ou fille, dans l’affection e?change?e,
tu formes alors « e?quipe » avec celui qui peut,
comme il le dit dans sa Parole e?crite,
« faire infiniment au-dela? de ce que nous imaginons et pensons. »
Non seulement pour toi, mais en toi,
si tu lui demandes de mettre son Esprit dans ton coeur,
comme on place une batterie neuve, un moteur neuf
dans une voiture qui n’avance plus !
La chance de ta vie ;
la part qui te revient ;
le pardon que ta conscience tourmente?e voudrait bien ;
la paix au lieu de l’angoisse et de la peur.
La joie, le joyeux soulagement
de se savoir pris en charge, prote?ge?, garde?, conduit.
Le bonheur de savoir que ta mort sera la porte ouverte
a? une amitie? bien plus grande encore…
La chance de ta vie,
qui que tu sois,
quel que soit ton passe?, ton pre?sent…
« On trouve une joie entie?re en ta pre?sence,
un plaisir e?ternel a? ses co?te?s. »
Ainsi David termine-t-il son poe?me, son chant de joie !